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| II -- Histoire d'Olsimonée | |
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Alia d'Or Administratrice
Age joueur : 36 Localisation joueur : Bordeaux
Age perso : 213 Race : Sorcière Rang : Première Dame de Scil Sceau :
| Sujet: II -- Histoire d'Olsimonée Ven 3 Avr - 21:02 | |
| Histoire d'Olsimonée Pendant mille ans la terreur inspirée par la tyrannie d'Olsimonée allait gouverner le coeur des habitants de Brume. Les Sachen, créatures de l'autre monde, dont le seul but était l'anihilation de toute vie sur Brume, s'appliquèrent méthodiquement à détruire les défenses les plus fortes de l'île. Ils commencèrent par s'attaquer aux dragons, puis les sorcier roux, les plus puissants aux beaux cheveux rouges, ocres ou orangés. Ces sorciers pouvaient-être aussi bien humains qu'elfes ou nains, la chevelure rousse était la marque de surpuissance magique.
Les Sachen s'attaquaient aux créatures les plus pures, les licornes, les fées ou les centaures en pâtirent après les dragons. A ce moment, le souverain d'Olsimonée se sentait de plus en plus proche des Sachen, du moins c'était ce qu'il croyait jusqu'à qu'il constate que ces créatures étaient faites pour le mal, et n'avaient pas de sentiments. En effet, très vite les Sachen ne firent plus la différence entre les Impétueux et les autres et tuèrent le second souverain des Olsimonéens. Brume était un os que ces monstres rongeaient. Olsimonée renforça ses défenses en essayant de châtier ces créatures noires.
A cette époque, durant la campagne de renforcement de la ville, le troisième souverain d'Olsimonée trouva une enfant aux cheveux rouges, dont l'état était si miséreux que les ni les Sachen ni les Anges n'auraient pu la voir. La surprise du souverain fut extrême, car en ces temps troublés, tous les roux avaient été exterminés. Touché par cette innocence, et soucieux de perpétuer la puissance rousse, il l'adopta en secret, et l'éleva enfermée dans la plus haute tour d'ivoire du palais, avec son fils légitime, le prince Escarboucle. Ces deux enfants eurent une enfance colorée loin des champs de bataille et de la misère de la basse ville. Mais si les diamants de la couronne d'Olsimonée sont éternels, l'innocence de la petite Alia d'Or ne fut qu'un fétu de paille perdu dans la plaine interminable... Alia d'Or, nommée ainsi de par l'élégante flamme qu'est sa longue chevlure rouge aux reflets d'Or, était destinée à se battre, à détruire, à tuer et à piller, alors que le prince Escarboucle, avait pour devoir de gouverner un peuple qui meurt de faim en temps de guerre et de supporter la cour qui se soûle nuit et jour...
Alors que leurs destins étaient scellés, entre eux un amour profond et puissant naquit. Leur tendresses secrètes les protégea et les mis en garde contre le feu qui s'abattait sur la terre de leurs espoirs.
Alia se résolut à ne pas tuer, elle choisit l'exil, même si elle savait sa mort prochaine. Alors qu'Escarboucle, malgré la bonté qui prenait place au fond de son coeur, ne put se résoudre à partir et abandonner son royaume et sa famille.
Ainsi les deux amants se séparèrent et prirent deux voies différentes. Sachant bien, que bien malgré leur amour, leur devoir serait un jour de combattre l'un contre l'autre.. |
| | | Escarboucle L'impétueux Compte fondateur
Age joueur : 35 Localisation joueur : Bordeaux
Race : Démon. Rang : Souverain de la contrée Impétueuse d'Olsimonée. Sceau :
| Sujet: Re: II -- Histoire d'Olsimonée Sam 30 Mai - 21:35 | |
| En relecture, il y a des erreurs- Spoiler:
Enrichissement du texte par Escarboucle, en construction mais non indispensable pour jouer. Travail purement littéraire et historique Tinkan, un être inconnu du peuple de l'ancienne Brume, changea la face de l'île lors de son retour. Il était parti voir ce qu'il y avait ''au dela de la Brume''. Qui aurait osé ? Qui aurait pu ? Et surtout, qui en serait revenu... Lui seul a tenté, lui seul en est revenu. Indemne ? Non. Bien changé, il avait passé un siècle dans ''l'au delà''. Son ambition l'avait fait parti, son ambition l'avait fait revenir, et il y a mille ans, fut placée la première pierre d'Olsimonée. Le règne de Tinkan et de ses premiers successeurs. Comment cette pierre fût placée ? Cela est encore inconnu. Tinkan seul n'a pu monter une civilisation de ses propres mains. Les historiens de notre temps émettent l'hypothèse qu'une peuplade résidait au pied du Volcan car ces terres sont d'une fertilité extrême. Tinkan à du se porter avec l'aide des Sachen à la tête de ces honnêtes paysans, les poussant à envahir leurs voisins comme de fiers barbares, et que petit à petit, la guerre fut vite gagnée, et une large contrée fut sous l'égide d'une seule patrie : Olsimonée. Les premiers grands bâtiments de pierre furent construits au pied du Mont Oclano. Un port fût aménagé dans le creux d'un bras de terre et la mer commença a être aussi contaminée par la puissance gangréneuse d'Olsimonée. Les technologies des multiples peuplades s'additionnèrent au profit d'une magie plus puissante et d'armes plus perfectionnées. Le désir de conquête des Olsimonéens les poussèrent à créer de nombreuses armes de siège, des armes pouvant terrasser les dragons, repousser la magie, détruire de grandes tours en un instant.
Pendant mille ans la terreur inspirée par la tyrannie d'Olsimonée allait gouverner le coeur des habitants de Brume. Les Sachen, créatures de l'autre monde, dont le seul but qu'ils savaient bien cacher à tous à cette époque, était l'annihilation de toute vie sur Brume. Ils s'appliquèrent méthodiquement, lentement mais sûrement, à détruire les défenses les plus fortes de l'île. Ils commencèrent par s'attaquer aux dragons, puis les sorcier roux, les plus puissants aux beaux cheveux rouges, ocres ou orangés. Ces sorciers pouvaient-être aussi bien humains qu'elfes ou nains, la chevelure rousse était la marque de surpuissance magique. Ils n'oubliaient pas de s'attaquer aux Olsimonéens, et même aux Impétueux quand ils commençaient à devenir gênants. Ils furent importants dans l'Histoire d'Olsimonée, car ils furent le fer de lance de Tinkan et de ses premiers successeurs. Mais bientôt, leur présence se fit pesante, douteuse. Les Olsimonéens commencèrent à se méfier de ces créatures malsaines. Malgré tout, elles hantèrent le Palais d'Ivoire pendant des Siècles, se faisant bien voir de nombreux nobles, siégeant aux côtés du pouvoir pendant de nombreux siècles.
Les Espèces magiques de Brumes se raréfièrent pour de nombreuses raisons. Les dragons, devant les constantes attaques des Sachen, voyant les armes consacrées à les détruire en plein développement dans les rues d'Olsimonée, voyant les objets de luxe fait du cuir de leurs frères, ne purent continuer à protéger la Terre des Chimères. Ces gardiens de la magie et de la terre furent tout simplement dépassés par la puissance d'Olsimonée. Ils se cachèrent dans les montagnes, préférant abandonner dans l'espoir que le mal se résolve de lui même. La nature finit toujours par triompher pensaient-ils, attendant leur heure. Demeurant sans protection, les nombreuses créatures sorties des portes de l'enfer surent comment tuer éteindre la lumière des feux follets, attaquer les elfes, chasser les centaures et en finir avec la vie du petit peuple de Brume. Il commença alors à ce moment l'ère des Cendres.
Tinkan régna longtemps pour un ''humain'', durant toute sa vie il conserva sa jeunesse. Mais ce semblant d'immortalité inquiéta ses nombreux enfants, allaient-ils régner un jour ? Ou Tinkan serait-il le seul Roi pour des millénaires ? Ses trois plus nobles enfants, de mères inconnues, mais surement aussi effrayantes qu'étaient les pratiques nocturnes de Tinkan, asservissant des Sachen et les forçant à se donner de multiples apparences de démones hermaphrodites... Il fut tué dans son lit, couchant avec une créature féminine au torse et au dos inversés, sauvagement découpé par une lame d'Orichalque. Enfin, on savait que les impétueux pouvaient mourir. Tous les suivants moururent assassinés, et à chaque fois, ce fût une expérimentation : poisons, strangulation, magie...
Les premier souverains d'Olsimonée s'appliquèrent à réunir les créatures les plus puissantes. Les démons surgirent des portes de l'enfer pour rejoindre les Olsimonéens, et ils furent les premiers à grossir les rangs de l'armée impétueuse. Les vampires se multiplièrent avec les offres de vies humaines que firent Olsimonée, et finirent sous la contrainte à rendre hommage aux Impétueux. Les Elfes Noirs fûrent plus difficile à convaincre, leur force était grande et leurs technologies avancées et perverses. Un siècle durant, la guerre perdura. Mais les démons sont physiquement plus résistants. Les elfes, même maléfiques, aiment toujours le calme, et préférèrent signer l'armistice. Un traité de paix fut signé et Olsimonée eut accès aux fabuleuses techniques elfiques. Ce fût une époque dorée, l'économie était florissante, le peuple épanoui et les découvertes et inventions se multiplièrent. Au fur et à mesure, les Démons, les Vampires et les Elfes noirs, devinrent plus que de simples peuples asservis, il devinrent de précieux alliés, et leur lignage fut l'honneur de la civilisation Olsimonéenne.
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| | | Escarboucle L'impétueux Compte fondateur
Age joueur : 35 Localisation joueur : Bordeaux
Race : Démon. Rang : Souverain de la contrée Impétueuse d'Olsimonée. Sceau :
| Sujet: Re: II -- Histoire d'Olsimonée Sam 30 Mai - 21:35 | |
| - Spoiler:
. [EN CONSTRUCTION] L'armée Salvatrice de Fariole L'île était grande, et les Impétueux étaient loin de connaître ses frontières. Le 6e souverain, Fariole, était un être belliqueux. Il se lança non pas seulement dans une large exploration, mais aussi dans une grande campagne de conquête. Cela faisait maintenant presque trois cent ans que Tinkan avait disparu, et le pouvoir d'Olsimonée était incontestable à l'intérieur de ses frontières. Son armée de démons et de revenants, dirigée par des Elfes Noirs et des Vampires, se dirigea vers l'ouest, vers la grande chaîne de Montagne. On croyait que les dieux y vivaient, et la puissance d'Olsimonée était telle qu'ils avaient l'audace de les défier. « Tuer les Dieux de Brume, c'est affirmer la toute puissance d'Olsimonée » (C'était une façon de motiver les soldats, mais bien entendu, il n'y avait pas de dieux là bas... Enfin, on ne les y a pas vus). Ce corps de bataille n'étais pas seulement guerrier : c'était un détachement des savants, des exporateurs, des érudits en tout genre dont les buts étaient d'instaurer aux autres peuples les coutumes d'Olsimonée, de cartographier la grande île et d'identifier tout ce qui se devait de l'être. L'armée perdit beaucoup d'Hommes en traversant la Grande Plaine qui prit le nom d'Interminable, sa traversée fut si longue que beaucoup d'hommes moururent d'épuisement. Jamais il cette plaine dont on n'avait jamais estimé la longueur n'avait été imaginée aussi éendue et monocorde. On maintenait le Palais au courant par pigeon voyageur, et la plaine était si longue, que beaucoup ne revinrent pas. Malgré les lourdes pertes, l'armée était toujours puissante. Arrivés au bout, ils firent un camp qui séjourna le temps d'explorer les hautes montagnes. La montée paraissait simple, mais les hauteurs étaient vertigineuses, et extraordinairement difficiles et escarpées... L'armée se dirigea après moult échecs vers le sud, afin de contourner la montagne. Ils suivirent le fleuve. Après peu de jours de marche, ils aperçurent les vestiges de la civilisation Atlante. Il séjournèrent dans la cité, le temps que de nombreux savants étudient les ruines, témoins d'une puissance sans équivoque. Cette civilisation apparemment non-violente avait régné un jour lointain sur l'île. C'était l'exact opposé idéologique d'Olsimonée, mais malgré tout, cette civilisation fût un modèle perpétuel. De nombreux ouvrages furent retrouvés, mais rien ne mentionnait la brutale disparition de ses habitants... Le seul indice fut l'océan qui recouvrait une grande partie de la cité. Quelque catastrophe magique aurait pu en être la cause ? Cela restait Brumeux. Aujourd'hui, à Scil, on affirme que la disparition de l'Atlantide est du à un déséquilibre naturel causé par le retourde Tinkan de la Brume, de l'arrivée des Sachen et de la mort massive de nombreux dragons et créatures magiques... La disparition de cette civilisation serait alors récente... Mais pourquoi ne subsiste t-il aucun corps ? De nouvelles créatures apparaissèrent, des hommes géants et grossiers attaquèrent le camp. Ils les avaient suivi, et venaient du nord disaient-ils. Ces créatures brutes défendaient ce qui semblait être leur territoire... C'était un peuple violent, mais la puissance des Olsimonéens les firent vite reculer. L'armée salvatrice d'Olsimonée reprit la route vers le nord, rebroussant chemin car la montagne s'enfonçait au loin dans l'océan, et cela était impraticable pour une armée aussi grande. Ils arrivèrent sur un vaste plateau aux paysages inégaux : collines, marais, forêts, plaines... Non loin du territoire de la frontière des Elfes Noirs. Un éclaireur fit son rapport au généraux : Plus loin se tenait une grande armée prête à faire face aux Olsimonéens, prévenue par les grossiers géants, des orcs, des trolls, des kobolds, des gobelins et autres créatures barbares tenaient leurs étendards déchirés, prêts à charger, C'était une ultime alliance, ces créatures violentes et non civilisées espéraient défendre leur liberté... La stratégie des Olsimonéens fut bien plus efficace comparée à la méthode frontale des Barbares. L'armée adverse fut défaite rapidement, et peu de pertes furent comptées. Sur ces Terres Sauvages, les créatures les plus variées se rassemblaient, c'était un lieu dépaysant. Au nord s'étendait un désert aux pourpres sables argileux. L'armée ne s'y engouffra pas. On le baptisa néanmoins le Désert Pourpre, de par la couleur singulière de son sable. A l'est s'étendait une vaste savane, on trouvait dans cette contrée des marais, de grands plateaux rocheux, des forêts denses... Tous les paysages y étaient représentés. A force de longer les montagnes vers le nord on arriva devant une vallée droite comme un I qui traversait de part et d'autre la montagne. Il y avait une route qui semblait ancestrale, mais aussi, elle semblait neue, récente. Une civilisation organisée se cachait peut-être derrière cette porte. L'armée campa devant, en attendant qu'un détachement de diplomates se déplace jusqu'à l'armée. On constitua un corps de protection pour ne pas déplacer inutilement toute l'armada. Toute une journée de marche fut nécessaire à la traversée. Au bout s'étendait une nouvelle partie du continent, mais non loin, un escalier sculpté dans la montagne créait un sentier parfaitement exécuté. Ils montèrent. Il semblait y avoir une extraordinaire civilisation, l'esthétique de l'architecture était sans égale, tout comme la majestuosité de la haute verticalité des bâtiments. Tout semblait lointain et irréel, comme dans un rêve. La Brume se faisait plus dense lorsqu'on montait, et les mystérieuses construction éthérées deumeuraient enveloppées d'un voile mystérieux qui cachait en grande partie ce qui devait être une cité perchée sur le pic de la montagne. De nombreuses maisonettes furent croisées, mais jamais personne ne les habitait. Aucune âme ne vivait sur cette route, entre les murs des maisons. Il avait une porte de pierre titanesque avec écrit en haut, ce qui semblait être le mot « Varode ». Mais, cela ne se lisait surement pas de cette façon. La civilisation du mont Varode semblait avoir ''déménagé'', Dans le peu de bâtiments qui purent être aperçus, il ne restait que les constructions, rien d'autre. L'architecture fut très instructive pour les architectes Olsimonéens qui cherchaient une nouvelle inspiration. Au loin encore s'étendait l'innateignable cité, perchée du haut de son pic vertigineux comme le nid d'un aigle fabuleux : si haut perché et d'une telle magnificence qu'il fera rêver les coeurs les plus sombres. Même si les technologies Olsimonéennes étaient fortement avancées, il ne peuvent toujours pas rejoindre l'immensité froide de la cité prétendue déserte tant la montagne est escarpée, il semble que les falaises soient soumises à quelques charmes ancestraux. La plupart du temps, même par temps clair, la brume enveloppe la capitale aérienne, comme si la ville hors du temps dormait au loin de l'agitation d'Olsimonée. La mort de Fariole se fit sentir proche tant il était vieux, et la menace des barbares se faisait proche. L'armée des barbares s'amassait et ils se faisaient nombreux, et près d'Olsimonée, l'armée restée pour la protection des murs était bien mince. La Muraille de la ville était de briques noires bien friable... La ville était prête à être renversée par la barbarie. Une première salve des sauvages enragés, secoua la muraille. Le reste du corps d'armée fût envoyé à l'assaut et la bataille dura deux jours sans trêves. A la fin, il ne restait que que peu d'Olsimonéens debout, et autant d'adversaires. Le combat fût arrête par l'arrivée d'une peuplade putride et conquérante : Les revenants, qui relevèrent grâce à leurs nécromanciens les Orcs, Ogres, Gobelins, Trolls et autres créatures tombées au combat. Les derniers Olsimonéens furent tués, et un gigantesque Centaure, visiblement demi-géant, au visage décrépit par la mort. Le silence avait envahi la plaine, et l'immense créature contre-nature s'adressa d'une voix puissante et caverneuse aux murs d'Olsimonée. « Rend toi ! Impétueux, ou les murs de ta cité tomberont sous les rochers de nos catapultes qui sont en chemin. Dans trois jours, des machines de guerre d'un temps ancien feront leur apparition ici, car nous, nous avons puisé notre savoir des technologies ancestrales de Brume ! » La grande armée salvatrice de Fariole en chemin redoubla d'efforts pour regagner la cité natale quand ils reçurent le pigeon voyageur alarmant les généraux : Il n'y avait plus personne pour défendre la cité... Le lendemain de l'arrivée des Nécromanciens à Olsimonée, l'armée croisa les lourdes machines de guerre, dont les pauvre militaires ne purent rien contre la cavalerie, et encore moins contre les sorts destructeurs des puissants enchanteurs... Les puissantes machines furent mises dans les mains des sapeurs et du génie qui prirent en main d'immenses chars. Il fut décidé de prendre par surprise l'ennemi en utilisant ses propres armes contre lui. Le surlendemain, Fariole dont sur sa peau commençait à se faire sentir les affres de la vieillesse, descendit les marches de la grande porte de la ville, pour montrer sa volonté de se rendre face aux machines de guerre qui se montraient à l'horizon alors qu'a priori, aucun soldat ne peuplait Olsimonée. Les machines au loin tirèrent de nombreuses pierres qui explosèrent au contact du sol, embrasant l'armée revenante. Le Grand Impétueux Fariole monta sur son destrier et fonça droit sur l'immense centaure, et lui planta un grand javelot directement au cœur. Le désir du souverain de démontrer que sa force et sa détermination était toujours aussi grande fut un échec : Le Chef de la faction, blessé à mort, trouva la force avant de tomber de le couper en deux de sa grande hache gravée. L'armée dut repoussée, les peuples du nord-ouest furent soumis, et payèrent tous un tribut. Le souverain suivant était le premier et unique fils de Fariole, né un an avant la mort de ce dernier, nommé Varode, en l'honneur de la civilisation aérienne.
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| | | Escarboucle L'impétueux Compte fondateur
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Race : Démon. Rang : Souverain de la contrée Impétueuse d'Olsimonée. Sceau :
| Sujet: Re: II -- Histoire d'Olsimonée Sam 30 Mai - 21:36 | |
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[EN CONSTRUCTION] Régence, la cruauté de Varode et l'Apogée [EN CONSTRUCTION]
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