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 Aërwan Dracan

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Aërwan Dracan

Aërwan Dracan

Masculin Age joueur : 35
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MessageSujet: Aërwan Dracan   Aërwan Dracan EmptySam 9 Mar - 20:57


Nom : Dracan

Prénom :Aërwan

Surnom: le voyageur, le corbeau, le dernier druide, ou encore l'adversaire selon celui qui le demande

Famille : aucun parents vivant, mais une famille très nombreuse (voir les pouvoirs)

Age réel : 738 ans

Age Apparent : 65 ans

Race : Druide

Royaume : la nature et elle seule

Rang ou métier : Druide vénérable, l'un des plus grands encore en activité

Caractère : calme, mélancolique, triste, joyeux, passionné, résigné... tout à la fois, peut être vous semble t'il que toutes ses émotions sont contraires, opposés, inconciliable même... vous n'avez donc rien compris à la façon dont tourne le monde. Il n'y a de tristesse que parce que le bonheur existe, et de la même façon si le calme existe c'est que la violence n'est pas très loin. je suis un homme heureux... peut être plus que bien des hommes, mais uniquement parce que j'ai connu bien des souffrances. Autant que faire ce peux, j'essaye d'aider ceux qui m'entoure, qu'ils soient hommes ou bêtes, pas par devoir, mais parce que j'en ai envie. De manière générale j'aime la vie, elle m'a donné bien des choses, et lorsqu'elle me les a retiré, j'ai su prendre du recul, et appréhender ma situation autrement. Mon problème est sans doute qu'étant druide, il m'arrive de réagir impulsivement, à la manière de mes frères les loups, de me ruer sur mes problèmes avec sauvagerie et brutalité. A l’extrême opposé, le lien que je partage avec la forêt, me pousse à prendre mon temps, et à observer avec passivité la vie qui m'entoure. C'est là un problème commun à bien des druides, les diverses influence sur nos âmes, nous conduisent a agir de façon chaotique, et notre compagnie n'est pas toujours agréable

Apparence(s) : un vieux parchemin fripé, un vieux débris en fin de compte. Il est vrai que je semble très vieux, y compris pour les humains, mais fort heureusement, peu de gens soupçonnent mon age véritable. Pourtant derrière cette vieillesse, ce cache toujours le jeune homme d'autrefois. Mon corps est fort, solide comme le roc, ce corps a été forgé par les batailles de mon enfance, et une vie d’ermite. j'aime a penser que j'ai pu contempler la nature dans ce qu'elle a de plus sauvage, et pourtant je suis toujours là, plus fort, plus rapide et plus agile qu'avant. Aujourd'hui ma peau est parsemé de cicatrises, ma barbe blanche, et mes cheveux blanc descendant en cascade dans mon dos, il ne reste que mes yeux bleu, qui témoigne encore de mon envie de vivre. Au début de ma vie, je me trouvais grand par rapport au autre gens, mais les années passant, chaque génération me rattrapa pour finalement me dépasser, et aujourd'hui je dois lever les yeux au ciel pour parler à mes interlocuteurs... mais quelle époques mes aïeux...enfin, c'est la preuve que la vie continue

Histoire :On ne naît pas druide, on le devient. J'ai appris cette règle dès mon plus jeune age. À L'époque, je vivais dans un petit village montagnard, assez loin des routes commerciales. Épargné par les guerres et les famines, nous vivions, ma famille et moi, des jours très heureux, ne redoutant que les loups et les ours de nos montagnes. Mais en une nuit, tout ce beau paradis s'évanouit dans les airs, une simple nuit qui suffit à ces monstres venus d'au delà la brume pour réduire mon village à feu et à sang.

Ma mère avait eu l'intelligence de me cacher sous quelque décombres, mais au milieu de tout ce chaos, je savais que je ne survivrais pas longtemps, déjà je voyais la mort me tourner autour...j'avais 5 ans. Et puis un hurlement se fit entendre dans la nuit, celui d'un loup, enfin c'était ce que je croyais. Et enfin je l'aperçue.... Séléné... Une beauté sans pareil, la peau comme un rayon de lune et les cheveux noirs comme la nuit ; mais aussi, comme j'allais l'apprendre plus tard, une femme redouté de tous et haïs comme étant une sorcière. À son appel, tout les loups de la foret se réveillèrent, et vinrent tuer les monstres. Pas un seul n'en réchappa, les loups les dévorèrent tous, et puis, doucement, Séléné vint me voir, et m'aida à sortir de ma cachette, c'est à ce moment que je pus me rendre compte de l'étendu des dégâts. Hormis les maisons qui étaient pour la plupart détruites, le bilan humain était très lourds, près des deux tiers du village, dont ma famille, avait périt. Seul, abandonné, le petit garçon que j’étais se cramponna à l'unique personne qui m'avait témoigné un tant soit peu d'attention, la druidesse.

Malgré le fait que se soit uniquement grâce à elle, que le village avait survécut, les habitant lui jetèrent des pierres et lui demandèrent de s'en aller, persuadé que c'était sa présence qui avait attiré les monstres. Plein de haine, les gens la renvoyèrent dans sa foret, et quelques jours plus tard, je la rejoignit. C'était courageux, pour un petit garçon, de partir en pleine foret comme cela, et pourtant aujourd'hui, je me dis que c'était sans doute plus de la bêtise. Après une seule journée d’errance, perdu et affamé, j'étais à bout de forces, et je m’effondrais sur le sol humide de la foret, à la merci du premier prédateur venu. Quelques heures plus tard, c'était pourtant dans ses bras que je me réveillais, et si aujourd'hui je sais comment elle avait pu me retrouver, j'étais à l'époque complètement ébahis. Au final elle me laissa le choix, soit arrêter mes idioties et mes tendances suicidaires, auquel cas, elle me ramènerai à mon village, soit je devenais son apprenti et devait devenir druide. Vous vous doutez bien de la réponse.

Pendant les 20 années suivantes, je suivis Séléné comme son ombre, elle m'appris une partie des secret de la nature, et comment survivre. Elle m'enseigna aussi, tout ce qu'il fallait savoir sur les druides, comment on devenait druide, comment mourir, et comment vivre. La vie avec elle ne fut pas une partie de plaisir, entre ses saute d'humeur, et ses crises de nerf, sans parler des conditions de vie qui me faisaient passer l'hiver en pagne, ou courir pour échapper aux ours... oui ma vie fut mouvementé, mais j’étais bien à ces cotés. Bientôt je devins un homme, mais elle... elle restait toujours cette jeune femme qui m'avait sauvé la vie, les années ne semblaient pas avoir d'effet sur elle. Je continuais à l'admirer, même si en secret, c'était de tendres sentiments qui commençaient à naître en moi. Un jour elle me fit voir son Arbre, un endroit sacré qui était la source de sa vie, planté au beau milieu de la foret, cet arbre était magnifique, majestueux, comme elle. Et puis me tendant un couteau, elle me demanda de survivre un mois entier, seul, ici. La tâche fut facile pour moi, et les 20 premiers jours ce passèrent sans problème. Le matin du vingt-et-unième jour, une odeur de feu me réveilla, et non loin de moi, des chasseurs avait établis leur camp. Tuer des êtres étaient normal, la mort faisait partit de la vie, et chacun devait tuer pour vivre, pour manger ou se défendre, mais ces chasseurs là étaient différents. Bien habillé, avec de précieuse étoffes, des armes et des armures d'une grande qualité, dormant dans des tentes luxueuses, ils avaient détruit de nombreux arbres pour leur confort, et avait massacré quantité de bêtes juste pour les plaisir, gardant la tête comme trophée, et laissant la carcasse pourrir au soleil.

Pour la première fois de ma vie, je sentis au fond de moi, les larmes de la foret, aussi je décidai de les tuer. Ils étaient quatre riches chasseurs, et encore une dizaine d'homme pour leur service et leur protection. La nuit venue, je m'approchai discrètement de leur campement, et comme une ombre je pénétrait dans leur tentes. Au petit matin, il restait trois chasseurs, et sept hommes de main. Pris de panique, je vit la peur dans leur yeux, pour la première fois de leur vie, ils étaient le gibier. J'avais espérer que mon acte les poussent à fuir la foret, mais bien au contraire, ils restèrent, plus déterminé que jamais à attraper la créature. Les jours suivants, à coup d'embuscades et de pièges, je parvint à les affaiblir, bientôt il ne resta plus que un chasseur, et deux hommes de main. Pourtant à cet heure, je ne pouvais pas savoir l'horrible tour qu'ils allaient me faire.

En désespoir, les hommes restant mirent le feux à la foret. Nous étions à la saison sèche, et rien ne semblait pouvoir stopper cet incendie. Le vent souffla violemment et attisa les flammes, les hommes périrent brûlés par leur propre feu, mais je n'avais pas le temps de m'en réjouir. Fuyant pour ma vie, je voulais échapper à ce piège de feu, quand soudain...L' Arbre. Revenant sur mes pas, je me précipitait vers le centre de la foret pour protéger ce que j'avais de plus précieux alors. Faisant un crochet par le ruisseau, je transportait toute l'eau que je pouvais, mais mon combat semblait perdu d'avance. M'aspergeant d'eau pour éviter les brûlures, j'essayais d’étouffer les flammes à leurs bases, frappant de toute mes forces avec des branchages. Courageuse tentative, mais hélas complètement vaine. Bientôt la fumée eu raison de moi, et à bout de souffle je m'écroulais sur cette terre dévasté.

De fines gouttes d'eau me réveillèrent, la pluie commençait à tomber, et avec elle, la fin de l'incendie. Pourtant il était trop tard, l'Arbre avait brûlé, je savais que Séléné avait partagé son âme avec cet arbre, de sorte que s'il mourait, elle le suivait. Triste, je m'appuyais contre le tronc noir, le visage ruisselant, le cœur brisé. J'attendais la mort, et finalement ce fut la vie qui m'appela. Des lapins, des ours, des cerfs, et bien d'autres êtres vinrent me voir, ils étaient blessés, ou brûlé et voulaient que je les soigne. Bien obligé de faire quelque chose pour mes amis, je quittais l'Arbre et m’engouffrais dans la foret pour trouver quelque herbes médicinale, indispensable pour les cataplasmes que je devais faire. Au fil des jours, mes obligations me prenais tellement de temps, que bien malgré moi, j'en oubliais mon chagrin. Les mois passèrent, et je m'occupait de cette foret qui était devenu mon chez moi, à l'époque je n'étais pas encore druide, mais déjà, les animaux me faisait confiance. Doucement mon âme guérissait, et certaine leçon de Séléné me revenait en mémoire, et je les comprenais différemment désormais. D'autres chasseurs vinrent dans la foret, je réussissait toujours à m'en débarrasser, sans les tuer... ce n'était pas que je détestais les humains, c'est que je n'avais plus l'impression de faire partie de la même espèce. Je n’empêchais pas les gens de circuler, ou de chasser, je les empêchais de détruire inutilement. Finalement, un an s'écoula, la nature avait commencé à revenir, et alors que je plantais quelque graines, je la vis, vivante et souriante, elle ne fit qu'une chose, elle s'excusa pour son retard, et me dit que j'étais prêt.

Séléné de retour, mon enseignement touchait à sa fin, et finalement je pus accomplir mon rituel pour devenir druide. Dans une clairière de la montagne, le corps recouvert de tatouages mystiques, Séléné me donna une certaine plante à mâcher, pour être honnête je n'en avais encore jamais vu de comme cela, elle me dit que cela aidait pour « parler à la nature ». Une fois drogué, je m'assis au pied d'un chêne centenaire, et ramassant un gland, je le pris dans ma main, et trois jours durant j'essayais de l'écouter. Le matin du troisième jour, j'avais compris, j'avais entendu et écouté la vie, je ressentait dans ce fruit, la volonté de vivre. Un être en devenir, et tout ça dans le creux de ma main, et instinctivement, je sus comment infuser un peu de ma propre vie dans ce fruit, c'est ce que je fis... désormais mon âme était lié à ce fruit, et une partie de moi allais vivre dans ce futur chêne. J’étais désormais un druide, un être à part, plus tout à fait humain, car lié à la nature de façon unique.

A mon grand regret, une partie de moi devais quitter Séléné, pour faire ma vie en tant que druide. Je plantait donc mon âme près d'elle, juste à coté de la dépouille de son Arbre, et je laissais à mon amie, le soin de s'occuper de moi. Sans un mot, je partis, laissant derrière moi, la seule femme qui comptait pour moi. Au fur et à mesure que mon Arbre grandissait, la nature me révéla ses secrets, les plantes et les animaux, se mirent à me parler, et je discutait avec eux. J'apprenais chaque jour de nouvelles choses, j'explorais le monde, rendis visite aux centaures, mais aussi aux nymphes et aux fées. Les plantes m'enseignaient leurs secrets, la façon de soigner ou de tuer, l'art des potions. Les animaux m'apprirent leur façon de chasser. Pendant près de cent ans, j'ai parcourus le monde, et il me livrait ses secrets les plus intimes. Plus le temps passait, et plus je sentais que mon esprit se liait facilement avec ce qui l'entourait. En synchronisant nos esprit, j'ai pu voler avec les aigles, nager avec les baleines du sud, ou même galoper dans les plaines avec les chevaux sauvages. Le vent sur ma figure, le contact brûlant du sable chaud si loin des montagnes de mon enfance. Je découvrais la joie d’être druide, bien au delà de ce que pouvais espérer un simple humain, et j'acquis la conviction que les vingt ans d'apprentissage avec Séléné, bien loin de constituer ma formation, n'étais que la préparation à ma renaissance en tant que druide. Ce siècle d’errance n'a cependant pas été toujours calme, et s'il m'arrivait de patienter des mois entier, juste pour voir un paysage sous une autre saison, je me suis battu avec des fauves, juste pour me prouver ma force, j'ai perdu plusieurs combats, mais j'en ai remporté quelque uns. La vie est un combat, et tel un jeune loup, je me battais de toute mes force pour vivre.

Finalement, je revins à mon point de départ, guidé par mon âme, je retrouvais sans problème le chemin vers mon Arbre. Il était devenu un fort et beau chêne, surpassant les autres arbres, la vie semblait s'épanouir sous son ombre protectrice. D'une manière générale, les druides n'ont pas de problème avec la nature, les bêtes eux même, nous reconnaisse comme étant bénéfique et évitent de nous attaquer, au contraire même, les animaux blessé viennent nous voir, et tout autour de nous la vie rayonne. Bientôt je revis la femme qui m'avait tout donné, Séléné, toujours aussi belle toujours aussi rayonnante, quant à moi je semblais être un vieillard. C'est avec plaisir, que nous nous retrouvâmes, et que nous parlions à longueur de journée. De la même façon que mon esprit comprenait ce que ressentent les plantes, je savais désormais ce que souhaitait Séléné. Depuis des décennies, nous avions les même tendres sentiments l'un pour l'autre. Hélas, les druides et les druidesses ne pouvaient avoir ce genre de relation, quand bien même ils le désiraient ardemment. Pour moi le simple fait de savoir que mon amour n'était pas à sens unique, suffisait à mon bonheur.

Combien de temps avons nous passé ensemble, à nous promener simplement, des mois, des années... Mais je sentais un trouble dans le cœur de ma bien-aimée, elle était las... las de la vie, et ses siècles d'existence la pesait, elle voulait partir, maintenant qu'elle était heureuse. La vie de druide est souvent tragique, alors je comprenais sa volonté de s'en allé maintenant. Doucement, je l'accompagnais dans la foret, puis arrivé à mon Arbre, elle me dit que l'endroit était parfais pour sa retraite. Je l'embrassais tendrement, puis je la voyais s'approcher de l'Arbre, incapable de la retenir, plusieurs animaux étaient là eux aussi, comme s'ils voulaient lui dire au revoir une dernière fois. Doucement je vis sa paume toucher l'écorce du vieux chêne, et puis sa main se fonda avec l'arbre, disparaissant doucement pour intégrer la vie de la foret. Les druides appelle cette retraite, le cycle... nous devenons druide car nous lions nos âmes à la nature par le biais d'un arbre, et nous pouvons à la fin partir en nous perdant dans un arbre, fusionnant nos esprits et nos âmes. Je n'étais pas vraiment triste, cet arbre contenait déjà une partie de ma vie, et maintenant, il accueillait celle que j'aimais... en un sens elle ne m'a jamais plus quitté après cela.

Une fois devenu druide, le temps s'écoule assez bizarrement, capable de rester des années à contempler et discuter avec un arbre, nous ne nous impliquons pas beaucoup dans la vie des hommes. Je savais qu'il y avait des guerres, j'avais aussi entendu parler des Impétueux, de l'Olsimonée et de ses démons... je n'y prêtais pas spécialement attention, bien que de nombreux oiseaux me rapportaient des messages alarmant du reste du monde. Pendant plus de trois siècles, je continuais de voyager, les hommes avaient abandonné ma montagne, et j'étais sans crainte pour mon Arbre, mes amis les bêtes le protégeait. J'allais, là où le vent me portais, dans les villages je soignais les maladies, instruisait les hommes sur les bienfaits de la nature, je sauvais des animaux de certains monstres... j'essayais de faire du monde, un endroit de paix... mais hélas la guerre me rattrapa.

Je parcourais une terre désolée, et j'étais occupé à aider la nature à revenir. Les hommes ont commencé à parler de moi, de mes exploits et de mes pouvoirs... Ils disaient que les druides étaient revenus... cette rumeur arriva jusqu'au oreille d'un petit seigneur local. Ce dernier était un revenant, à la solde d'Olsimonée, il était intéressé par les druides, et leur prétendu immortalité. Ce monstre savait que les druides ne sortait que très rarement des foret, aussi il créa grâce à l'art noir une sorte de peste qui se rependait assez vite. Grâce à mon Arbre, j'étais suffisamment résistant pour survivre à cette maladie crée par la nécromancie, et je tentais rapidement d'endiguer ce fléau. À force de recherche, je conçu finalement un remède, et je visitais chaque village pour éradiquer la maladie. A l'époque, je ne savais pas les origines de ce fléau, je l'appris quand je pénétrai dans sa ville. Il m'emprisonna dès que j'eus sauvé le dernier malade, et tout mielleux il m'appris comment il avait conçus cette peste, pourtant en dépit de toute sa science, la vie lui était un concept étranger, qu'il n'arrivait pas à comprendre et à contrôler. C'était la première fois que je voyais un revenant, c’était aussi la première fois que je voyais un tel maître de la nécromancie, et je vis la mon opposé, celui qui était mon Némésis.

Pendant des mois entiers, il me tortura, physiquement, et mentalement. Il était le scientifique et je n'était qu'un sujet d'étude, un cobaye. Il étudia mes limites, mes résistances. Il regarda mes entrailles pour voir si j'étais différent d'un humain. Mais le pire était quand il blessait mes amis devant moi, j'étais alors obligé de lui obéir, et je partageais mon esprit avec le leur, atténuant leur douleur, et si possible les soignant. Mon calvaire semblait interminable, et chaque jour mon bourreau semblait trouver une nouvelle méthode pour me faire souffrir. Ce fut un rouge gorge qui me sauva, il vint me voir et aux barreaux de ma fenêtre, me raconta ce qui se passa dans le monde. Grâce à lui, un plan d'évasion germa dans mon esprit. J'avais bien vu que le maître, une fois que ses patients étaient morts, n'avaient plus aucun intérêt pour lui, et il se contentait de les jeter dehors, ne se souciant que de la vie, un cadavre n'avait aucun secret pour lui. Les plantes m'avais appris à concocter un breuvage qui simulait la mort pour un temps donné, mais je ne pouvait faire ce genre de préparation, dans ma cellule, alors je devais recourir à l'autre méthode. Plantant mon regard dans celui de l'oiseau, mon esprit s'engouffra totalement en lui, laissant derrière moi une simple coquille vide, autrement dit un cadavre. À présent dans le corps de l'oiseau, je sortais de ma cellule, et m'en allais. Patiemment, j'attendais que les gardes ce rendent comptent de mon état, et peu de temps après ils en avisèrent le seigneur. Ma carcasse fut alors balancé sans ménagement dans la fosse, avec les autres ancien cobayes du maître. À la nuit tombé je m’envolai vers mon corps, et m'y engouffrais de nouveau, laissant mon petit ami libre de voler où bon lui semblait. Et la nuit même je partis de ce château et de cette ville maudite. Mais je comptais bien revenir.

Pendant une semaine je recherchais des herbes et des plantes dans les environs, puis parallèlement à ça, je recherchais des graines. Finalement j'arrivai à trouver tout les ingrédient pour Lilianne... la potion de vie. Je déversais alors toutes les graines dans la mixture, et laissais chaque graine se gorger de vie. À la faveur de la nuit, je m'avançais vers la ville, armé d'un unique sac remplis de graine, et d'une outre pleine d'eau. Après avoir assommé les gardes de la ville (avec l'aide de leur chevaux), je commença à planter mes arbres, tout autour de la ville, dans les rues, à coté des maisons, et jusque dans la cour du château. En une seule nuit, aidé par Lilianne, les arbres acquirent une taille impressionnante, et en poussant leur racine écartèrent les pierres, et démolirent les bâtiments, en particulier ce triste donjon. En une seule nuit, j'avais montré au seigneur de la ville, le pouvoir de la nature, et il n’eut pas d'autre choix que de quitter cette foret avec ses gens pour s'installer ailleurs. Pas une goutte de sang n'avait été versé, mais j'avais réussis à les faire partir. Je n'ai jamais revu ce sombre seigneurs, mais il ne fait aucun doute pour moi, que sa puissance lui a garantis un poste élevé quelque part ailleurs dans le royaume. Un jour peut être, nous nous reverrons, en attendant, c'est sans haine que je pense à lui, mais avec tristesse et pitié.

Peu de choses sont notable après ça. J'allais là où je voulais, quand je voulais, souvent pourtant je venais me recueillir auprès de mon arbre. J'essayai d'aider la vie du mieux que je pouvais, pourtant malgré ma propre expérience des geôles d'Olsimonée... je ne m'investissais pas dans la lutte contre l'empire... j'avais vécus suffisamment de temps pour savoir que les guerres finissait d'elle même, tôt ou tard. Mais un jour, une jeune fille rousse croisa ma route... elle était étrange, pleine de vie mais en même temps, il se dégageai d'elle une aura majestueuse. D'un seul regard je savais qu'elle allais faire beaucoup pour le monde. Nous avons longuement discuté, et finalement, je lui ai promis de l'aider du mieux que je pourrais. C'était une promesse, et elle est toujours d'actualité. Aujourd'hui je continus de parcourir le monde, aidant mon prochain et tendant une oreille attentive à la guerre. Voilà vingt ans j'ai recueillis trois enfants, dont les parents avaient été tué par des mercenaires. Je les ai élevé comme mes enfants. Deux frères et une fille, je leur enseigna comment survivre dans ce monde hostile, et tout trois viennent de planter leur Arbre. Je surveille de loin mes enfants, les laissant désormais vivre leur vies, mais je garderais toujours un œil sur leur Arbres. Je redoute cependant pour leur avenir, trois enfant aussi lié, s'aimant tendrement, mais lorsque deux frères aime la même fille... puisse la sagesse des druides et de la nature les aider en tout temps, et en tout lieux. Quand à moi je continue ma route... seul...

Pouvoir(s) :Alors déjà, les druides ne sont pas nombreux, aujourd'hui nous devons etre une dizaine tout au plus... et bon nombre de légende cours sur nous, alors, déjà nous ne sommes pas immortel, nous ne dominons pas la nature, et les boules de feux et autres éclairs nous sont inconnus. Comme tout les druides je peux écouter et parler avec tous ce qui est vivant. Ainsi je sais faire de nombreuse potions, et soigner presque tout les maux. (faire repousser des organes, manipuler les poisons, ou faire pousser un arbre en une journée... autant de chose qui me sont possible). Comme tout les druide, je peux lié mon âme avec différent êtres, et ce à différent niveau. Pour devenir druide il faut déjà partager la moitié de son âme avec un arbre, créant un lien très fort, à tel point que si l’Arbre meurt, le druide meurt, et si le druide meurt... l'arbre aussi. Fort heureusement, ce rituel renforce à la fois le druide et l'arbre, et le druide survit tant que l'arbre, ou sa progéniture survit (dans le cas de Séléné, la perte de son Arbre, a été tragique pour elle, mais comme il avait pu donner naissance à d'autre arbres, sa perte n'a pas été mortelle pour la druidesse). Ce lien marche aussi avec la végétation, accordant un certain contrôle sur les plantes, ou les animaux pour ce faire obéir... cependant un lien crée avec un être déjà développé et adulte sera éphémère par nature (raison pour laquelle le rituel ne marche qu'avec une graine). Enfin à cause de mon age, je réussis à transmettre, temporairement tout mon esprit à un être vivant, devenant littéralement cet etre.

Arme(s) : deux trois babiole, une hachette, un baton, et des fioles... toutefois, méfiance pour la hachette, je sais très bien m'en servir

Familier :en se moment trois animaux m'accompagne, je ne suis pas leur maitre, mais leur amis, il y a kriss un corbeau, notung un hiboux, et sieg un jeune loup solitaire, dont la meute a été décimée
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Aërwan Dracan

Aërwan Dracan

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MessageSujet: Re: Aërwan Dracan   Aërwan Dracan EmptyMar 12 Mar - 19:45

Evolution du personnage
(voilà je commence doucement a changer ma fiche)
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Alia d'Or
Administratrice
Alia d'Or

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Localisation joueur : Bordeaux

Age perso : 213
Race : Sorcière
Rang : Première Dame de Scil
Sceau : Sceau de Scil


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MessageSujet: Re: Aërwan Dracan   Aërwan Dracan EmptyMer 13 Mar - 11:46

.
Bonjour Aërwan,

En attendant que nous ayons correctement lut ta fiche, je t'invite à lire ou relire les règles, il manque quelques petites choses avant toute validation.

J'espère que tu te plairas parmi nous :001621:

.
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Aërwan Dracan

Aërwan Dracan

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MessageSujet: Re: Aërwan Dracan   Aërwan Dracan EmptyMer 13 Mar - 21:35

c'est fait ^_^
enfin bon, pour l'avatar et la signature j'aurai besoin d'aide...j'suis pas doué
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Tok

Tok

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Age perso : ?
Race : Goblin's
Rang : Moi je suis un inventeur vagabond o
Sceau : Sceau des races presque disparues


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MessageSujet: Re: Aërwan Dracan   Aërwan Dracan EmptyJeu 14 Mar - 16:39

Pour ton avatar et ta signature envoi moi les images qui te plaisent et je te ferais ça. Désolé de mettre tant de temps pour lire ta fiche, étant malade j'ai du mal à me concentré.
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Alia d'Or
Administratrice
Alia d'Or

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MessageSujet: Re: Aërwan Dracan   Aërwan Dracan EmptySam 16 Mar - 23:31

A nouveau, sois le bienvuenu.

Les détails :

Les parents de ton personnage sont morts lors de l'attaque ? À préciser si ce n'est pas fait.
Ça serait bien de développer un peu son ressenti, car là on a un peu l'impression que le scénario a plus d'importance que le réalisme.
Peur, tristesse, désespoir, etc. Ce qui explique le comportement du petit garçon. Ça manque un peu.

Je trouve intéressant ton idée de partager son âme avec un arbre. Mais faire cela, c'est aussi s'attacher à un lieu, une forêt, une terre. L'arbre est aussi le symbole des racines. Il serait bon de savoir où il se situ (les montagnes, coté Scil ou Olsimonée?), et d'avoir conscience que ton personnage n'est pas que nomade. Il a des origines, une patrie.
Tu dis que tu n'as pas vraiment de royaume, et pourtant... un lieu plus qu'un autre l'est.

On ne sait pas dans l'histoire comment Séléné a survécu à la mort de son arbre. Il faudra le rajouter, tout comme expliquer pourquoi les autres arbres n'ont pas brûlé...
D'ailleurs soit dit en passant, pourquoi Aërwan s'en est sorti alors qu'un grand chêne juste à coté de lui a totalement brûlé ?



Ce qui est important :
N'étant pas un sorcier mais usant de beaucoup de magie, tu es l'équivalent d'un mage. C'est donc une bonne chose que tu es mit un très long temps d'apprentissage. Attention tout de même, l'utilisation de la magie a l'air un peu trop facile à ton personnage.

Et le problème principal est là. Mais je vois que malgré un personnage puissant, tu sais te modérer et ne pas en abuser, donc je vais être moins chiante que prévu.
MAIS ! Je ne veux pas que ton personnage utilise la magie à tout va, que dans chaque paragraphe tu témoignes de la grande puissance de ton personnage. Alors attention ! N'utilise pas trop ta magie (en plus ça rendrait ton jeu lourd)
Il va falloir rajouter quelques bémols ; Difficulté de trouver toutes les plantes car à sort puissant plante rare, du temps de concentration (transe), des prises de risques (si l'animal avec qui t'es en fusion meurt tu prends cher), et des difficultés, etc. Tous les animaux ne sont pas forcément gentils ou prêt à aider par exemple, et ils peuvent être tout de même méfiants. C'est comme les humains, on a beau être gentil tout le monde ne nous aime pas et tout le monde n'est pas serviable.

Tu peux aussi rajouter un peu plus de druides, il en reste une centaine, plus ou moins puissants. 10 c'est vraiment peu et ça bloquera d'autres joueurs. Par contre il peut y avoir plusieurs cultes. La médecine ou l'art par exemple ont plusieurs écoles.
Si tu le souhaites tu peux donner un nom à un groupe de druides particulier (une 10aines) qui vivent selon les codes que tu as établit (partage d'âme).
Je pense qu'il faudra faire une fiche pour les druides, il faudra que tu y décrive ceux qui sont comme ton personnage, développer les rituels, etc (on verra plus tard)

« discuter » ou « parler » avec les animaux et les plantes me choque... Je sais que c'est un avis assez personnel, mais je doute que la nature ait le même langage que nous. Plutôt un langage d'émotion, un chant sans voix. Mais pas de 'conversation', les mots n'ont aucun sens dans la nature, c'est très humain comme approche alors que le langage a de multiple visages.

Je suis pas très très motivé à l'idée de faire repousser des organes... En plus ce n'est pas trop 'naturel' non ? Si la nature ne fait pas la repousse naturellement, pourquoi un gardien de l'équilibre s'y opposerait ? La blessure comme la mort sont naturelles.

Pour le lien avec un autre être vivant tu parles « d’obéir », grand dieu ! Un druide volerait un corps et en ferait ce qu'il veut ? Ce n'est pas très harmonieux ! Pas très digne. Une fusion, oui. Et que l'animal ne soit pas asservit serait bien aussi. Ça rendra à ton druide la vie plus difficile, et tant mieux ! Ça lui évitera d'être trop puissant et de faire tout ce qu'il veut. C'est un partag, pas un asservissement, et l'animal peut refuser de faire ce qu'on lui demande).

La nature est sauvage, attention à ne pas trop vouloir la dominer !




L'ensemble est bon, alors je t'accorde pas mal de pouvoir si tu entends ce que je viens de te dire, plus de limitation et moins de contrôle.
Par contre, il va falloir faire attention à l'orthographe, les accords, les conjugaisons et les temps utilisés.
Je t'invite donc à te relire. Et de faire un passage dans l'atelier où une section est faite pour l'entraide, nous faisons tous des erreurs, mais c'est un peu dommage sur une fiche aussi sympa...
Certaines phrases et passages méritent aussi d'être un peu retravaillés.
Mais comme tu n'étais pas sur d'être validé, peut-être as tu été moins attentif et que tu peux mieux faire. On a pas toujours envi de se relire dans l'immédiat.


Tant que ton avatar n'est pas posté on ne valide pas.
Ton second message doit faire honneur à un des devoirs imposés aux membres, tout comme la signature doit avoir un lien vers ta fiche.



PS : trés beau thème Smile

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MessageSujet: Re: Aërwan Dracan   Aërwan Dracan EmptyDim 17 Mar - 13:46


salut Alia,

merci pour ton message, et ta première impression de modération (pas si terrible que ça d'ailleurs, je m'attendais à etre foudroyé sur place ^_^)

avant de modifier ma fiche, je voudrais etre d'accord avec toi sur la partie pouvoir, la plus délicate, qui determine l'histoire en grande partie

les druides, ou plutot cette catégorie de druide (ok pour les différents types de druide ^_^), qui lie leur ames à la nature ont plusieurs capacités qui découle de leur lien
parler à la nature: ici il ne s'agit pas de converser, mais de ressentir, de pouvoir comprendre, et donc de connaitre leur secret (plantes medicinale)

de cette compréhension decoule l'art des potions, un engrais accéléré, des potions de vie, des poisons, des choses très longues à faire, (une semaine pour lilianne), delicate
le coup de faire repousser des membres pour soigner est sans doute un peu trop éloigné du possible, mais voulant faire un personnage non violent, je voulais pouvoir soigner les autres... peut etre un peu trop du coup, a enlever donc

excuse ma maladresse sur la fiche, à aucun moment un druide ne peut contraindre un etre, le dominer est impossible, par exemple, ordonner à un lapin d'attaquer un lion est impossible, mais demander de l'aide à un corbeau oui... en fait la nuance viendrait plus du lien, le druide n'est pas le dominant, et l'animal le dominé, le druide demande une faveur à un ami, (après c'est au joueur, donc moi, de faire preuve de bon sens, par exemple attaquer un chateau avec une armée de loups, est impossible, comment justifier un tel carnage, tant pour les loups que pour les humains)
en fait je voyais ça un peu comme le vif dans l'assassin royal (je suis sur que tu avais reconnu la reférence ^_^) le druide se lie à un arbre, mais après rien ne l'empeche d'etablir un lien plus ou moins important avec tel ou tel etre, et bien sur ce lien ne sera pas aussi fort entre un animal recueillis à la naissance, et un ours adulte vu pour la première fois. l'étapes ultime, c'est le transfert de conscience, (fusion) qui permet au druide de partager le corps de l'animal, bien entendu la mort de l'animal à ce moment signifie la mort du druide, tandis que la mort d'un animal lié dans une moindre mesure causera une peine immense et une douleur réelle

donc à priori les trois "pouvoirs" du druide sont ceux là comprehension, potions, et influence, je ferais attention de ne pas en abuser en rp, mais en demontrer plusieurs aspect dans l'histoire m'avait paru le plus simple, de façon à voir concretement les applications.

ici donc, le druide n'est pas le druide de WOW ou de diablo, un etre qui domine la nature, les éléments, ou qui se transforme en betes, (bien que ces pouvoirs peuvent le faire penser, un lien entre légende et réalité)

donc voilà pour clarifier,
maintenant a tu des conseil particulier, autre que ceux que tu as marqué sur la fiche, pour rendre jouable un personnage comme Aërwan ?

ps: merci pour le thème, ^_^ j'adore cette musique et je pourrais l'écouter en boucle
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MessageSujet: Re: Aërwan Dracan   Aërwan Dracan EmptyDim 17 Mar - 14:20

.
Re bonjour,

Je me doutais un peu que nous étions déjà sur la même longueur d'onde, mais il fallait clarifier. Et il le faut dans ta fiche. Affiche vraiment que plus que des pouvoirs, ce sont des liens et des ressentit.

Certes un lapin ne va pas attaquer un lion, mais il faut aussi prendre en compte son libre arbitre. Et celà pour les détails ou même les rapports. C'est un peu comme dans un couple, tu ne peux certes pas obliger l'autre, mais tu ne peux pas non plus être toujours d'accord avec celui ci. En d'autres termes, tout animal n'aura pas envi de se lier, ou de faire ce que tu attends de lui même si tu ne lui demande pas grand chose. C'est ce que je voulais exprimer.
Mon chien m'adore, il se ferait tuer pour moi, mais des fois il n'a pas envi d'aller à gauche ou il aura la flemme. Dans ce cas là, je ruse, j'insiste. S'il ne veut vraiment pas, soit j'accepte sa non envi, soit je l'oblige.
Pour moi un BON druide devrait se plier dans une idée d'égalité, ne pas le forcer. Aprés, je te l'accorde, il PEUT l'obliger (druide puissant). Mais dans ce cas la confiance de la nature dans le druide s'altère. Plus il obligera, plus il deviendra un druide de pouvoir (négatif, mauvais), et non d'équité.
Un conflit intérieur à développer selon les situations (à situation d'urgence, acte parfois répréhensible) ? et une contrainte aussi pour ton druide.
Tu retrouves un peu les différenciations, la double facette, du vif.

Il n'y a pas à faire de gros changements dans ta fiche, il faut surtout atténuer, adoucir. Un peu comme un pastel où les traits sont dessinés mais où il faut rendre les traits plus souples. La druidisme n'est pas du pouvoir dur, il faut qu'on le ressente plus dans ta fiche.

Je te propose de la retravailler, de prendre en compte les détails que j'ai abordé. -à ceux ci je rajouterais la culpabilité des meurtres commis dans sa jeunesse-
En attendant j'espère qu'un modo exprimera son avis, voir si je n'ai rien loupé. Mais en dehors d'une bonne relecture je n'ai pas d'appréhension particulière.

J'ai qu'une peur, c'est que tu fasses l'erreur de faire un rp trop lourd, avec pleins de références au pouvoir druidique. Attention à ce que tes pouvoirs ne soient pas sur-dimensionnés, ça devrait aller si tu en fait bon usage. Par exemple, lorsque Séléné fait intervenir les loups, dans un rp comme celui ci, il ne faudrait pas faire l'erreur de dire "elle appela les loups et ils vinrent l'aider", non ! il faut être plus inventif et sensible. Les loups sont prêts d'un village d'humains, ces derniers les ont trés probablement chassé, et les loups eux n'ont pas forcément envi de mourir pour d'autres. Il faut donc les convaincre. Là est toute l'utilité du druide. Quelque part il est l'ambassadeur entre les peuples, entre l'homme et la nature.Pas celuiqui commande à la nature et aux animaux. Tu vois ce que je veux dire ?
De même, les mots 'parler' et 'discuter' me choquent, il va te falloir adoucir, prolonger, broder, travailler, ce genre de moments, d'échanges.


.
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MessageSujet: Re: Aërwan Dracan   Aërwan Dracan EmptyMer 20 Mar - 7:31

Bonjour et officiellement bienvenue à toi « jeune » druide,

Je vais donner mon avis tant attendu sur ta fiche. Tout d’abord excuse moi pour le temps de latence, comme je l’ai dis je ne suis pas au meilleur de ma forme ces temps-ci. Or donc, ton avatar devrait suivre dans la semaine.

Mais c’est ta fiche qui nous importe ici, et je l’aime bien je dois dire. J’aime ce personnage sage et gentil, j’aime l’idée d’avoir un vieillard au regard malicieux et au sourire d’enfant. Bref à mes yeux c’est un très bon personnage et je te félicite. Peut-être arriveront nous à avoir un équilibre entre les guerriers musclés et les autres ? Le tiens est à la fois original sur Brume et à la fois classique dans le monde de la fantaisie. Irai-je jusqu’à dire que nous avions besoin d’un personnage comme toi ? Certainement.

Maintenant il y a des choses qui me gênent, je ne reviendrais pas sur ce qu’Alia a déjà dit. Après tout c’est elle la big boss parmi nous, ce serait redondant Smile. Je vais simplement mettre l’accent sur des fautes simples qui freinent le récits. Prends à garde aux ce et se qui m’ont fait grimacer de nombreuses fois. Je comprends qu’on puisse faire des fautes, je ne suis guère exempt de ce genre de préoccupations, mais prends garde tout de même. Je te conseille d’utiliser Word ou Bonpatron.com qui sont de très bonnes aides (mais qui ne font pas tout le travail) ainsi que d’une bonne relecture. Pour exemple d’autres fautes voici : « je commença à planter mes arbres ».

Pour le rouge gorge dont tu prends « possession », et je pense que c’est là ou Alia voulait en venir, il serait de bon ton que tu précise que c’est lui-même qui te l’a proposé ou qu’il t’a signifié son accord au préalable. Tout dépends de ce que tu veux faire de ton personnage. Si tu compte e faire rester sur le droit chemin ou lui donner une part sombre. Mais je reviens dessus malgré qu’Alia l’ai déjà mentionné simplement parce que ce passage est très important, il exprime ta relation avec la nature et les animaux ainsi que le pouvoir que tu exerce sur eux.

J’aime la fin de ta fiche, laissant entendre que tu es un professeur druide ainsi qu’un père. J’aime le fait que tu sous entende par là que d’autres druides pourrait être à venir. Non sincèrement tout cela me semble tout bonnement génial. Il faudrait donc remédier à ce que j’ai dis plus haut ainsi qu’à ce qu’Alia a déjà souligné. Bon courage à toi.
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MessageSujet: Re: Aërwan Dracan   Aërwan Dracan EmptySam 6 Avr - 14:04

Des nouvelles? Pour ton avatar, je l'ai terminé mais j'ai complètement oublié de te l'envoyer (tête en l'air). Je fais ça dès que je l'ai retrouvé.
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MessageSujet: Re: Aërwan Dracan   Aërwan Dracan Empty

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